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Le printemps est à nos portes, accompagné de la saison des inondations. En effet, plusieurs régions à travers le Québec se voient en alerte en raison de la montée de eaux de nombreuses rivières. Ici, je vous présente les merveilles et les revers de la médaille du printemps.
La saison des amours nous dévoile très souvent ses parfums floraux tout en nous masquant ses facettes plus sombres. Regorgeant de vitalité, elle transforme les joies de renaissance en des pleurs de détresse à travers les inondations. Reflétant l’espoir et le désespoir comme un miroir brisé mêlant le parfum des fleurs à l’amertume des eaux dévastatrices. Les régions de l’Outaouais, les Laurentides, la Montérégie, Lanaudière, la Mauricie, le Centre-du-Québec ont été durement frappés au cours des années passées.
Encore cette année, elle nous laisse voir une facette encore plus terrifiante d’elle, et ce, depuis le 15 mars. Des familles entières se voient dans l’obligation d’abandonner leur foyer. Afin de contrer ce fardeaux psycologiques, les sinistrés sont accueillis à bras ouvert dans les centres de refuge.
Ce qui inquiète le plus les populations est ce jeu de température auquel prend plaisir mère-nature. Sans doute alimenté par les activités humaines qui sont la principale cause du réchauffement climatique. Les températures maximales de 17 degrés Celsius a été atteinte la semaine passée et une autre en dessus de 0 cette semaine en sont la preuve. Cela nous fait comprendre que nos actes envers la nature se retournent contre nous. Les aides offertes par les différents centres sont juste pour un temps mais pendant combien de temps pourron-nous tenir si chaque printemps continue à ce rythme ou s’empire ? Serions-nous capables de tenir longtemps ? Je pense que la seule manière de résoudre ce fléau est de s’attaquer directement aux changements climatiques plutôt que d’essayer d'en résoudre les conséquences.
Yasmina
La saison des amours nous dévoile très souvent ses parfums floraux tout en nous masquant ses facettes plus sombres. Regorgeant de vitalité, elle transforme les joies de renaissance en des pleurs de détresse à travers les inondations. Reflétant l’espoir et le désespoir comme un miroir brisé mêlant le parfum des fleurs à l’amertume des eaux dévastatrices. Les régions de l’Outaouais, les Laurentides, la Montérégie, Lanaudière, la Mauricie, le Centre-du-Québec ont été durement frappés au cours des années passées.
Encore cette année, elle nous laisse voir une facette encore plus terrifiante d’elle, et ce, depuis le 15 mars. Des familles entières se voient dans l’obligation d’abandonner leur foyer. Afin de contrer ce fardeaux psycologiques, les sinistrés sont accueillis à bras ouvert dans les centres de refuge.
Ce qui inquiète le plus les populations est ce jeu de température auquel prend plaisir mère-nature. Sans doute alimenté par les activités humaines qui sont la principale cause du réchauffement climatique. Les températures maximales de 17 degrés Celsius a été atteinte la semaine passée et une autre en dessus de 0 cette semaine en sont la preuve. Cela nous fait comprendre que nos actes envers la nature se retournent contre nous. Les aides offertes par les différents centres sont juste pour un temps mais pendant combien de temps pourron-nous tenir si chaque printemps continue à ce rythme ou s’empire ? Serions-nous capables de tenir longtemps ? Je pense que la seule manière de résoudre ce fléau est de s’attaquer directement aux changements climatiques plutôt que d’essayer d'en résoudre les conséquences.
Yasmina