Quand on pense aux enseignants, plusieurs images nous viennent en tête : le prof sévère qui donne trop de devoirs, celui qui parle sans arrêt, ou encore celui qui ne comprend rien aux ados. Ces clichés circulent souvent dans les couloirs des écoles, dans les séries télé ou sur les réseaux sociaux. Mais qu’en est-il vraiment ? Qui sont ces personnes qui passent leurs journées à essayer de nous apprendre quelque chose ?
Beaucoup d’élèves pensent que les enseignants prennent plaisir à donner des devoirs ou à faire des contrôles surprises. En réalité, la plupart des profs veulent surtout que leurs élèves réussissent. Les devoirs ne sont pas là pour punir, mais pour aider à mieux comprendre et retenir ce qui a été vu en classe. Et les contrôles ? Ils permettent de voir où on en est, ce qu’on a compris… et ce qu’il faut retravailler.
Il est vrai que certains enseignants viennent d’une autre génération, avec une autre culture et d’autres références. Mais cela ne veut pas dire qu’ils ne s’intéressent pas à leurs élèves. Beaucoup essaient de créer des liens, d’écouter, de comprendre les réalités des ados d’aujourd’hui. Certains vont même jusqu’à utiliser TikTok ou des mèmes en classe pour capter l’attention ! Ce n’est pas parce qu’un prof ne connaît pas le dernier trend qu’il ne veut pas comprendre ce que vivent ses élèves.
Un autre cliché très répandu, c’est que les profs ont la belle vie : ils finissent tôt, ils ont plein de vacances. Ce qu’on oublie, c’est tout le travail qu’on ne voit pas : les corrections le soir, la préparation des cours, les réunions, les suivis avec les parents, les projets scolaires… Être enseignant, c’est aussi gérer des classes de 25 à 30 élèves, avec leurs personnalités, leurs difficultés, leurs émotions. C’est un métier exigeant, parfois épuisant, mais souvent passionnant.
Les enseignants ne sont pas des robots. Ils ont des passions, des familles, des journées avec et des journées sans. Certains sont drôles, d’autres plus stricts, certains très organisés, d’autres un peu plus freestyle. Mais tous ont un point commun : ils ont choisi ce métier pour transmettre, pour accompagner, pour faire une différence.
Alors, la prochaine fois qu’un prof vous semble « trop sévère » ou « pas cool », posez-vous la question : et si, derrière ce cliché, il y avait une personne qui croit en vous, même quand vous doutez de vous-même ?
Youssef Kasmi Bakkali
Beaucoup d’élèves pensent que les enseignants prennent plaisir à donner des devoirs ou à faire des contrôles surprises. En réalité, la plupart des profs veulent surtout que leurs élèves réussissent. Les devoirs ne sont pas là pour punir, mais pour aider à mieux comprendre et retenir ce qui a été vu en classe. Et les contrôles ? Ils permettent de voir où on en est, ce qu’on a compris… et ce qu’il faut retravailler.
Il est vrai que certains enseignants viennent d’une autre génération, avec une autre culture et d’autres références. Mais cela ne veut pas dire qu’ils ne s’intéressent pas à leurs élèves. Beaucoup essaient de créer des liens, d’écouter, de comprendre les réalités des ados d’aujourd’hui. Certains vont même jusqu’à utiliser TikTok ou des mèmes en classe pour capter l’attention ! Ce n’est pas parce qu’un prof ne connaît pas le dernier trend qu’il ne veut pas comprendre ce que vivent ses élèves.
Un autre cliché très répandu, c’est que les profs ont la belle vie : ils finissent tôt, ils ont plein de vacances. Ce qu’on oublie, c’est tout le travail qu’on ne voit pas : les corrections le soir, la préparation des cours, les réunions, les suivis avec les parents, les projets scolaires… Être enseignant, c’est aussi gérer des classes de 25 à 30 élèves, avec leurs personnalités, leurs difficultés, leurs émotions. C’est un métier exigeant, parfois épuisant, mais souvent passionnant.
Les enseignants ne sont pas des robots. Ils ont des passions, des familles, des journées avec et des journées sans. Certains sont drôles, d’autres plus stricts, certains très organisés, d’autres un peu plus freestyle. Mais tous ont un point commun : ils ont choisi ce métier pour transmettre, pour accompagner, pour faire une différence.
Alors, la prochaine fois qu’un prof vous semble « trop sévère » ou « pas cool », posez-vous la question : et si, derrière ce cliché, il y avait une personne qui croit en vous, même quand vous doutez de vous-même ?
Youssef Kasmi Bakkali