Réseaux sociaux : ton vibe ou ta prison ?
TikTok, Instagram, Snapchat… Ces applis, c’est ton quotidien, pas vrai ? Elles te connectent à tes potes, te font marrer avec des vidéos débiles et te tiennent au jus des dernières tendances. Mais derrière les filtres qui te lissent la peau et les stories bien léchées, les réseaux sociaux ont un sacré impact sur ta vie d’ado – et pas toujours dans le bon sens. Alors, est-ce qu’ils te boostent ou te plombent ? On va creuser ça ensemble. Pense à un truc : combien de fois tu te compares à quelqu’un en scrollant ton feed ? Une meuf avec un corps parfait, un mec qui a l’air de vivre la grande vie… Les réseaux, c’est un miroir qui déforme tout. Tu vois des vies retouchées, des moments triés sur le volet, pas la vraie galère du quotidien. Et bim, tu te sens nul·le, pas à la hauteur. Des études disent même que trop de temps là-dessus augmente l’anxiété et flingue l’estime de soi chez les ados. Toi aussi, tu t’es déjà demandé pourquoi ta vie ressemble pas à ça ? La vérité, c’est que personne ne poste ses bad days.
Et puis, il y a le côté sombre : les mots qui cognent. Une insulte en commentaire, une rumeur qui tourne en DM, une photo gênante qui fait le tour… Le cyberharcèlement, ça touche un ado sur trois, et ça fait mal pour de vrai – honte, solitude, parfois pire. Contrairement à une embrouille dans la cour, ça te suit jusque dans ton lit. T’as déjà vu ça autour de toi ? La bonne nouvelle, c’est que tu peux riposter : signaler, bloquer, en parler à quelqu’un. T’es pas obligé·e de subir en silence.
Et l’addiction, on en parle ? Combien de fois tu t’es dit "juste cinq minutes" avant de te retrouver à scroller jusqu’à pas d’heure ? Les likes, les notifs, c’est comme une petite récompense qui te tient accroché·e. Sauf qu’à force, ton sommeil prend cher, t’es à l’ouest en cours, et tes vrais potes te voient moins. T’as déjà essayé de lâcher ton téléphone une journée entière ? Pas simple. Les réseaux sont faits pour te piéger, mais toi, t’es plus malin·e que ça, non ?
Bon, soyons clairs, c’est pas que du mauvais. Les réseaux, ça te connecte aussi à des gens qui te ressemblent, ça te fait découvrir des passions ou défendre des trucs qui te tiennent à cœur – le climat, l’égalité, ce genre de causes. Ils te donnent une voix, un endroit pour t’exprimer. Le tout, c’est de pas te laisser bouffer. Fixe-toi des limites, genre pas de téléphone après 22h. Suis des comptes qui te font kiffer, pas juste des vies irréelles. Et surtout, parle en vrai avec tes amis – rien ne remplace un fou rire en face-à-face. Les réseaux sociaux, c’est un outil de ouf, mais c’est à toi de décider s’ils te servent ou s’ils te contrôlent. Alors, toi, ils te font quoi, ces écrans ? T’en penses quoi, au fond ?
Youssef Kasmi, enseignant à Saint-Jean-Baptiste
Et puis, il y a le côté sombre : les mots qui cognent. Une insulte en commentaire, une rumeur qui tourne en DM, une photo gênante qui fait le tour… Le cyberharcèlement, ça touche un ado sur trois, et ça fait mal pour de vrai – honte, solitude, parfois pire. Contrairement à une embrouille dans la cour, ça te suit jusque dans ton lit. T’as déjà vu ça autour de toi ? La bonne nouvelle, c’est que tu peux riposter : signaler, bloquer, en parler à quelqu’un. T’es pas obligé·e de subir en silence.
Et l’addiction, on en parle ? Combien de fois tu t’es dit "juste cinq minutes" avant de te retrouver à scroller jusqu’à pas d’heure ? Les likes, les notifs, c’est comme une petite récompense qui te tient accroché·e. Sauf qu’à force, ton sommeil prend cher, t’es à l’ouest en cours, et tes vrais potes te voient moins. T’as déjà essayé de lâcher ton téléphone une journée entière ? Pas simple. Les réseaux sont faits pour te piéger, mais toi, t’es plus malin·e que ça, non ?
Bon, soyons clairs, c’est pas que du mauvais. Les réseaux, ça te connecte aussi à des gens qui te ressemblent, ça te fait découvrir des passions ou défendre des trucs qui te tiennent à cœur – le climat, l’égalité, ce genre de causes. Ils te donnent une voix, un endroit pour t’exprimer. Le tout, c’est de pas te laisser bouffer. Fixe-toi des limites, genre pas de téléphone après 22h. Suis des comptes qui te font kiffer, pas juste des vies irréelles. Et surtout, parle en vrai avec tes amis – rien ne remplace un fou rire en face-à-face. Les réseaux sociaux, c’est un outil de ouf, mais c’est à toi de décider s’ils te servent ou s’ils te contrôlent. Alors, toi, ils te font quoi, ces écrans ? T’en penses quoi, au fond ?
Youssef Kasmi, enseignant à Saint-Jean-Baptiste