Je voudrais vous parler du livre Dry par Neal et Jarrod Shusterman, paru en 2018. ​

​Résumé

Alyssa et sa famille demeurent dans un quartier paisible en Californie. Depuis quelque temps, l’utilisation de l’eau est de plus en plus restreinte en raison de la sécheresse. Vient le jour où l’eau ne coule plus et les robinets s’assèchent pour de bon. Tout le monde se précipite sur les bouteilles d’eau dans les épiceries, jusqu’au point où toutes les réserves disparaissent. Ainsi, leur banlieue devient une zone de guerre entre voisins pour avoir de l’eau. 

Par ailleurs, les parents d’Alyssa et de son petit frère, partis chercher de l’eau depuis longtemps, ne semblent toujours pas donner de nouvelles. Les enfants décident de partir à leur recherche. Un périlleux voyage commence pour eux. Tout au long de cette aventure, des liens se noueront avec plusieurs personnages, dont certains viendront changer la suite des évènements. 
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Parviendront-ils à retracer leurs parents et à retrouver une vie où l’eau coule à nouveau sans restriction ? ​

Mon avis

​Tout d’abord, j’ai trouvé ce roman particulièrement touchant et bouleversant, car je sais que cette situation existe déjà dans le monde actuel. Car, malheureusement, beaucoup de personnes sur notre planète n’ont pas un accès facile à l’eau. De plus, en raison du réchauffement climatique, certaines régions sont quasiment ou complètement asséchées. 

J’ai beaucoup apprécié que, même si la situation est souvent dangereuse, plusieurs amitiés arrivent à se créer entre les personnages. Cela montre que des belles relations peuvent survenir dans les pires moments de la vie. 

Certains passages de ce livre m’ont également fait rire. L’auteur a parfois ajouté une touche d’humour pour atténuer l’ambiance souvent tendue et stressante. 
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En conclusion, cette histoire m’a énormément plu, car les personnages étaient captivants et avaient tous une personnalité attachante. Le suspense était palpitant et a été maintenu jusqu’à la toute fin. 
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Je vous suggère donc de lire ce livre, en espérant que vous l’aimerez.
Alexis Mellet, groupe 211